15 déc. 2009

The end...

Une tête roule dans la rue. Elle est détachée du corps auquel elle appartenait. C'est son amant qui lui a coupée. Il lui a coupée avec une scie à chaîne rouillée. Il n'était pas capable de laisser sa femme. C'était souffrant, mais plus facile d'éliminer la maîtresse. La tête roule et personne ne la reconnaît. Tout est bien qui finit bien.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

À la femme guillotinée

Tenir à bout de bras un toit pour protéger la meute de la pluie,
Se consumer pour assurer le pain à la chair de sa chair,
Assister à sa vie en spectateur par don de soi,
Monter la garde comme un bon chien de cour à scrap,
Honorer le contrat du sang,
S'oublier par loyauté...
Pourtant, de tout cela, il s'en trouvera toujours pour n'y voir que de la lâcheté... ou de la facilité.