Love as pain
Life as death
Wathever you need
Wathever you want
I'll still there.
«J'ai fait un pacte avec la prostitution, afin de semer le désordre dans les familles.» (I.Ducasse)
19 juin 2012
1 févr. 2012
30 janv. 2012
22 janv. 2012
28 mai 2011
Avis
Recherche notaire certifié.
Ai le mandat de faire rédiger acte / décès pour famille spermatozoïdes morts et / où / dans t-shirt.
Ai le mandat de faire rédiger acte / décès pour famille spermatozoïdes morts et / où / dans t-shirt.
24 mai 2011
Liberté
Le plus grand leurre que l'humanité puisse se faire, c'est croire qu'elle peut donner un sens à la vie. Une fois cette réalité admise, elle pourra se dire et se sentir libre.
18 sept. 2010
20 juin 2010
À l'endroit où j'étais,
Les feuilles étaient roses,
Les serpents ne mangeaient pas les tortues,
Les matins sonnaient bien,
Les fusées abondaient en ce sens,
Des mains venues de nul part s'occupaient de tricoter toile après toile des araignées,
Le rouge des murs croulants riait d'en haut de cette vieille femme acariâtre épluchant ses cheveux à la fourchette...
Là où j'étais, tu n'y étais pas.
Là où je vais, je t'y croiserai peut-être.
Tant que le ver luisant veille sur moi, j'ai un univers de toi à visiter...
Les feuilles étaient roses,
Les serpents ne mangeaient pas les tortues,
Les matins sonnaient bien,
Les fusées abondaient en ce sens,
Des mains venues de nul part s'occupaient de tricoter toile après toile des araignées,
Le rouge des murs croulants riait d'en haut de cette vieille femme acariâtre épluchant ses cheveux à la fourchette...
Là où j'étais, tu n'y étais pas.
Là où je vais, je t'y croiserai peut-être.
Tant que le ver luisant veille sur moi, j'ai un univers de toi à visiter...
6 juin 2010
14 mai 2010
19 févr. 2010
2 févr. 2010
Rêve et réalité...
Un homme, le visage plus grand que nature, se confiait à moi aujourd'hui.
Sans gène, il me racontait qu'il entendait désormais le silence des voix dans sa tête:
''Après plusieurs années de travail, elles se font désormais discrètes.
Avant, elles parlaient de moi et de leurs intentions assassines.
J'ai bu pour les noyer. J'ai pris des drogues pour les étourdir.
J'ai même entendu la tienne me dire que je ne valais pas la peine.
Maintenant, je saisis les vraies choses.
Je le sais que tu m'aimes et que pour rien au monde, tu me laisserais tomber.''
Sans gène, il me racontait qu'il entendait désormais le silence des voix dans sa tête:
''Après plusieurs années de travail, elles se font désormais discrètes.
Avant, elles parlaient de moi et de leurs intentions assassines.
J'ai bu pour les noyer. J'ai pris des drogues pour les étourdir.
J'ai même entendu la tienne me dire que je ne valais pas la peine.
Maintenant, je saisis les vraies choses.
Je le sais que tu m'aimes et que pour rien au monde, tu me laisserais tomber.''
9 janv. 2010
15 déc. 2009
The end...
Une tête roule dans la rue.
Elle est détachée du corps auquel elle appartenait.
C'est son amant qui lui a coupée.
Il lui a coupée avec une scie à chaîne rouillée.
Il n'était pas capable de laisser sa femme.
C'était souffrant, mais plus facile d'éliminer la maîtresse.
La tête roule et personne ne la reconnaît.
Tout est bien qui finit bien.
13 déc. 2009
8 déc. 2009
Comprendre...
Comprendre ce qui me pousse à dépasser les limites.
Pourtant, je déteste l'adrénaline.
Je ne peux m'empêcher d'aller plus loin, au-delà de mes frontières, au-delà du permis...
J'ai fait des pas calculés.
J'ai aussi couru droit dans des murs...
Croyez moi, la brique, c'est dur!
Il paraît que l'important c'est d'être
toujours en action, même si avancer c'est parfois reculer.
Étrangement, je n'ai qu'envie de dormir maintenant.
Comprendre ce qui me pousse à dépasser les limites.
Pourtant, je déteste l'adrénaline.
Je ne peux m'empêcher d'aller plus loin, au-delà de mes frontières, au-delà du permis...
J'ai fait des pas calculés.
J'ai aussi couru droit dans des murs...
Croyez moi, la brique, c'est dur!
Il paraît que l'important c'est d'être
toujours en action, même si avancer c'est parfois reculer.
Étrangement, je n'ai qu'envie de dormir maintenant.
20 nov. 2009
Lettre à l'Homme.
Cette nuit dans mon rêve, tu étais magnifique, torse nu, à scier du bois comme un déchaîné.
Malgré tous les gens de ma famille qui étaient présents ci et là,
tu entrais dans la maison et me laissais te présenter.
On a mangé des framboises énormes et tellement sucrées pour ensuite descendre en bas pour se doucher. Nos corps savonneux s'enlaçant, tes lèvres dans mon cou, tu me sodomisais fougueusement... Tu avais gravé sur le comptoir de cuisine avec un couteau: Je t'aime Nadia.
Je ne sais pas pourquoi je te raconte ce rêve en particulier, parmis tous ceux que j'ai eus avec toi, mais l'ambiance était si calme et chaleureuse, si simple et sexuelle en même temps, ça m'a marqué.
Je pense à toi.
Tu me manques.
Malgré tous les gens de ma famille qui étaient présents ci et là,
tu entrais dans la maison et me laissais te présenter.
On a mangé des framboises énormes et tellement sucrées pour ensuite descendre en bas pour se doucher. Nos corps savonneux s'enlaçant, tes lèvres dans mon cou, tu me sodomisais fougueusement... Tu avais gravé sur le comptoir de cuisine avec un couteau: Je t'aime Nadia.
Je ne sais pas pourquoi je te raconte ce rêve en particulier, parmis tous ceux que j'ai eus avec toi, mais l'ambiance était si calme et chaleureuse, si simple et sexuelle en même temps, ça m'a marqué.
Je pense à toi.
Tu me manques.
30 sept. 2009
22 sept. 2009
-i-
C'est gris.
Le temps joue entre nuages et éclaircies.
Détail si peu important dans une vie où faire semblant tient d'la survie.
Il n'y a place aux conflits ni à l'hystérie.
Vaine rébellion des plus petits
Malgré cette croissante multiplication des fourmis.
À cheval sur lit,
Contents d'avoir jouit,
Les amants fuiront la Syrie
Et s'en iront en Italie.
Ce qui compte c'est ce qui les lient,
Feignant de ne pas savoir c'est au profit de qui...
Le temps joue entre nuages et éclaircies.
Détail si peu important dans une vie où faire semblant tient d'la survie.
Il n'y a place aux conflits ni à l'hystérie.
Vaine rébellion des plus petits
Malgré cette croissante multiplication des fourmis.
À cheval sur lit,
Contents d'avoir jouit,
Les amants fuiront la Syrie
Et s'en iront en Italie.
Ce qui compte c'est ce qui les lient,
Feignant de ne pas savoir c'est au profit de qui...
20 sept. 2009
16 sept. 2009
Étape 1
J'ai avalé ma peine comme un gros morceau d'pain sec sans m'étouffer. C'est déjà un début...
13 août 2009
17 juil. 2009
24 juin 2009
25 mai 2009
1,2,3 je m'en vais au bois...
Il y a cet arbre tortueusement branché qui me regarde par la fenêtre.
Il trouve lui aussi que des flocons, ça se tolère mieux en octobre qu'en mai.
Ils sont sages les arbres.
Je les écoute souvent.
Y'a rien comme les conseils et les réflexions d'une forêt pour vous remettre sur le bon sentier.
Elle laisse place aussi à quelques fantasmes torrides et peu chastes en plein air, mais ça, vous le savez déjà.
Ce n'est qu'elle, après tout, qui est faite en bois.
Il trouve lui aussi que des flocons, ça se tolère mieux en octobre qu'en mai.
Ils sont sages les arbres.
Je les écoute souvent.
Y'a rien comme les conseils et les réflexions d'une forêt pour vous remettre sur le bon sentier.
Elle laisse place aussi à quelques fantasmes torrides et peu chastes en plein air, mais ça, vous le savez déjà.
Ce n'est qu'elle, après tout, qui est faite en bois.
17 mai 2009
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