
«J'ai fait un pacte avec la prostitution, afin de semer le désordre dans les familles.» (I.Ducasse)
18 août 2008
10 août 2008
6 août 2008
28 juil. 2008
Il ne m'a pas choisi...
-Je ne crois plus en nous deux...
-Je comprends.
-Je vois bien que nos projets de vie ne coïncident pas. Je n'arrive plus à croire au présent de notre relation en sachant qu'il n'y a pas de futur...
-En fin de compte, mes choix de vie m'amènent à passer une vie de célibataire on dirait bien...
-Pas facile tout ça.
-Garde ça simple...
-Ouais.... ciao. Prends soin d'toi.
-Toi aussi, bye...
-Je comprends.
-Je vois bien que nos projets de vie ne coïncident pas. Je n'arrive plus à croire au présent de notre relation en sachant qu'il n'y a pas de futur...
-En fin de compte, mes choix de vie m'amènent à passer une vie de célibataire on dirait bien...
-Pas facile tout ça.
-Garde ça simple...
-Ouais.... ciao. Prends soin d'toi.
-Toi aussi, bye...
20 juil. 2008
Silence

Silence, ça tourne.
Le vent emporte les gens et leurs fausses têtes,
le bruit des citrons sûrs,
les mirages en rêve,
les citadelles s'effondrent,
s'envolent les nuits d'après-midi,
voilà d'la terre partout et
le silence tourne...
Le vite et le lent s'alternent;
les nuages et la pluie renaissent;
laissant du vert de mes yeux dans le néant bleu.
Puis l'amour enveloppe, l'amour papier, l'amour maux, l'amour trop...
Bien au chaud, le silence y est et y reste.
13 juil. 2008

Un homme se tenant suicidaire sur le haut bord d'un édifice lance son chien en bas et dit:
''C'est un avant-goût, Mesdames-Messieurs, tassez-vous!''
S'en suit la chute de l'homme.
Son atterrissage fut juteusement décoratif.
''Il a bien fait de sauter ce pauvre type! Il faut être drôlement malade pour tuer un si beau chien...''
1 juil. 2008
29 juin 2008
Marcher...
Peu importe où.
Marcher et écraser ces lombrics sortis par centaines.
Errer dans cette vase puante et m'accrocher l'esprit au loin.
Le laisser là trois jours...
Sainte trinité...
La sainte paix!
Trois p'tits chats chats chats
Château d'cartes
Cartographe
Graffiti
Timorée
Rétrocède
Cédera
Rats d'égouts
Goutte de sang
Sentiments...
M'en tirerons-nous longtemps?!
Il nous faut pourtant m'égarer de ce monde gris puis m'écarter les jambes.
Laisser toutes ces queues avides m'empaler jusqu'au crâne;
Jouissant des glands éjaculés dans mon cerveau.
C'est même plus un cerveau, c'est comme de la sauce blanche*!.
Il y a d'ailleurs ces vieilles hases qui se délecterons,
léchant leurs langues et leurs cuillères en me savourant.
Gâtez-vous salvatrices,
votre poil sera luisant.
*Boris Vian, La java des bombes atomiques
Peu importe où.
Marcher et écraser ces lombrics sortis par centaines.
Errer dans cette vase puante et m'accrocher l'esprit au loin.
Le laisser là trois jours...
Sainte trinité...
La sainte paix!
Trois p'tits chats chats chats
Château d'cartes
Cartographe
Graffiti
Timorée
Rétrocède
Cédera
Rats d'égouts
Goutte de sang
Sentiments...
M'en tirerons-nous longtemps?!
Il nous faut pourtant m'égarer de ce monde gris puis m'écarter les jambes.
Laisser toutes ces queues avides m'empaler jusqu'au crâne;
Jouissant des glands éjaculés dans mon cerveau.
C'est même plus un cerveau, c'est comme de la sauce blanche*!.
Il y a d'ailleurs ces vieilles hases qui se délecterons,
léchant leurs langues et leurs cuillères en me savourant.
Gâtez-vous salvatrices,
votre poil sera luisant.
*Boris Vian, La java des bombes atomiques
22 juin 2008
21 juin 2008
Elle y est
Lorsqu'on prend la peine de regarder,
de vraiment regarder,
on la voit traînant ses pieds dans les nuages.
Parfois, elle s'assied sur un bout d'ciel, enlevant de longs morceaux d'ongles avec un couteau.
Lorsqu'elle porte les doigts à sa bouche pour en lécher les gouttelettes de sang,
ses lèvres écarlates font naître un bref sourire de contentement.
Ici,
loin de vous,
dit-elle,
tout goûte bien meilleur.
6 juin 2008

Elle m'a raconté que rire lui piquait la gorge.
Qu'elle sentait ensuite le sang couler dans son estomac
et qu'une envie de vomir insoutenable s'en suivait.
Elle rit,
elle saigne,
elle rit encore,
elle souffre et elle en veut toujours!
L'ironie, telle un orgasme sans fin, la transporte enfin loin de cette orgie de douleur.
Elle me dit maintenant planner au dessus de l'absurdité;
qu'elle chie sur le mépris;
qu'elle connait trop bien les failles du mensonge à présent;
Elle est si heureuse!
Elle rit à gorge déployée...
Qu'elle sentait ensuite le sang couler dans son estomac
et qu'une envie de vomir insoutenable s'en suivait.
Elle rit,
elle saigne,
elle rit encore,
elle souffre et elle en veut toujours!
L'ironie, telle un orgasme sans fin, la transporte enfin loin de cette orgie de douleur.
Elle me dit maintenant planner au dessus de l'absurdité;
qu'elle chie sur le mépris;
qu'elle connait trop bien les failles du mensonge à présent;
Elle est si heureuse!
Elle rit à gorge déployée...
Dors dors douce aimante
Laisse ta tête s'envoler
Ne retiens plus ce qui te hante
Laisse ton âme s'élever...
Laisse ta tête s'envoler
Ne retiens plus ce qui te hante
Laisse ton âme s'élever...
2 juin 2008
''Cale les délires''
L'avenir appartient aux détenteurs de pâte dentifrice Katékinze.
C'est nauséabondant des Rice Crispies mous dans le lait.
Se teindre en roux pour être immortel est tout à fait futile.
Avec des napkins pis du poivre, on peut s'faire des napkins au poivre; c'est RBO qui l'a dit!
Trois fois passera qui?
Jean-Henry Gionest est introuvable sur Google.
Qu'on s'le dise.
C'est nauséabondant des Rice Crispies mous dans le lait.
Se teindre en roux pour être immortel est tout à fait futile.
Avec des napkins pis du poivre, on peut s'faire des napkins au poivre; c'est RBO qui l'a dit!
Trois fois passera qui?
Jean-Henry Gionest est introuvable sur Google.
Qu'on s'le dise.
29 mai 2008
24 mai 2008
VIRUS
Chaque matin, le spectre anti-viral de mon ordinateur lance sa fouille quotidienne.
Pour mes bibittes à moi, à quand l'inspection garantissant un fonctionnement sans faille pour la journée?!
Un bidule fait exprès, implanté au bout de la queue d'un mec me pénétrant chaque jour, ça serait une combinaison parfaite pour l'examen de routine; un deux dans un!
Je détiens là une idée sensass.
Je suis protégée par les droits d'auteur?!
Ahhhhhhh!!!! J'ai trop d'images dans ma tête làlà avec un docteur sexy et son infirmière cochonne!!!
Pour quand ma guérison?!?!?!?!?
Pour mes bibittes à moi, à quand l'inspection garantissant un fonctionnement sans faille pour la journée?!
Un bidule fait exprès, implanté au bout de la queue d'un mec me pénétrant chaque jour, ça serait une combinaison parfaite pour l'examen de routine; un deux dans un!
Je détiens là une idée sensass.
Je suis protégée par les droits d'auteur?!
Ahhhhhhh!!!! J'ai trop d'images dans ma tête làlà avec un docteur sexy et son infirmière cochonne!!!
Pour quand ma guérison?!?!?!?!?

21 mai 2008
Attachez-moi, retenez-moi!!!


Trucs du jour:
Afin d'éviter d'être esclave de nos pulsions printanières, il faut simplement s'enfermer seul(e) dans un entrepôt avec une tonne de bouffe en réserve; puis se couper d'internet avec toutes ses tentations charnelles; ainsi attendre la fin du monde en lisant la biographie de mère Thérèsa; faire des tonnes de SUDUKU (oui oui SUDUKU) en espérant devenir expert(e); se donner comme mission de connaître par coeur le code ADN de toutes les espèces vivantes sur terre...
Pas facile de résister au pouvoir dominant des hormones grrrrrrrrrrr
18 mai 2008
12 mai 2008
8 mai 2008
F.L.A.T
6 mai 2008
Elle a glissé ses cheveux sur toute la surface de mon être.
Ses longs mouvements lancinants me faisaient frémir.
De fines gouttelettes perlaient, glissant de sa chevelure humide...
Elle était sur moi, aussi sensuelle qu'elle pouvait être,
Me dominant de toutes parts.
Elle est chaude, ça se sent...
Elle me veut, elle m'adore, elle s'émoustille dès que l'on se touche.
Ma vigoureuse Vileda, Je t'aime!
Il va falloir remettre ça bientôt ma belle,
Ton plancher préféré...
XXXXXXXXXXXXX
Ses longs mouvements lancinants me faisaient frémir.
De fines gouttelettes perlaient, glissant de sa chevelure humide...
Elle était sur moi, aussi sensuelle qu'elle pouvait être,
Me dominant de toutes parts.
Elle est chaude, ça se sent...
Elle me veut, elle m'adore, elle s'émoustille dès que l'on se touche.
Ma vigoureuse Vileda, Je t'aime!
Il va falloir remettre ça bientôt ma belle,
Ton plancher préféré...
XXXXXXXXXXXXX
5 mai 2008
3 mai 2008
Il a bien fallu

Il y a eu ces mots échangés par écrit
Puis ceux qui
Autour d'un repas
Autour du lit
Ce sont enlacés
Ce sont passionnément embrassés...
Ces mots qui furent en parfaite communion
Avec nos âmes
Avec nos corps
Ne sont maintenant que murmures
Plus qu'un faible souffle dans la nuit...
Il y a trop de mots que l'on retient
Par peur d'infinité
Trop de mots que l'on répète
Par crainte d'être dévoilé.
Il y a ceux que l'on déguise
Par envie
Par nécessité
Et aussi ceux qui,
Par peur de vivre,
Cachent la vérité.
J'aimerais te dire
Ceux que je regrette
Puis ceux que tu mérite.
J'aimerais entendre
Ceux qui te font bête
Et oublier
Ceux que tu as mentis...
Il restera toujours
Ceux que tu m'as donnés
Spontanément
En me disant chérie...
Ces mots me gardent près de toi
Malgré la distance
Malgré nos vies
Ces mots sont nôtres
Et aucune page
N'est assez grande
Pour contenir
Tout l'amour qu'ils ont...
27 avr. 2008
À vous...
J'ai envie de raconter une situation qui s'est passée il y a quelques années, lorsque je survivais encore à cette époque, plutôt que de vivre pleinement cette dite vie...
Je voyageais tous les jours de semaine, en autobus assurément, entre Brossard et Montréal pour suivre mes cours en ébénisterie (je n'ai toujours pas de voiture soit dit en passant, il y a un commanditaire intéressé?!).
Un jour d'avril, exeptionnellement chaud comme en juillet, je me retrouvai donc tout à fait par hasard assise en face de Maria.
Je la nommai ainsi parce qu'il aurait été odieux de parler d'elle comme étant '' la fille'' dans l'autobus (c'est d'ailleurs, en quelque sorte, en nommant les choses qu'on leur donne vie...).
Elle était sublime.
Ce n'était pas une beauté ordinaire ni timide, elle était empiriquement belle.
Son visage si doux aveuglait de bonté.
Ses cheveux noirs luisants tombaient avec précision sur ses épaules frêles mais fortes à la fois, pouvant supporter toute la souffrance du monde avec une aisance unique.
Ses yeux, noirs aussi,nous transperçaient tous sans exeption, lisant à travers chaque passager que nous étions.
Seuls les plus assumés pouvaient soutenir son regard et sourire...
Et sourire, j'en fus capable.
Je me surpris moi-même à ne pouvoir lever les yeux d'elle. Non pas par désir ou jalousie, mais par un étrange et soudain envoûtement.
Je pris mon carnet et tentai de la dessiner.
Difficile tâche de reproduire la perfection...
Il me fallait toutefois tenter le coup.
Il y a de ces choses dans la vie que l'on ne peut s'empêcher de faire, telle une force insoutenable qui se doit d'être...
Je remerciai la vie de m'avoir donné ce don de contemplation. De pouvoir ainsi vivre et sentir la beauté, j'étais privilégiée.
Être le véhicule d'une telle émotion ne peut qu'apporter plénitude et satisfaction.
Raconter aujourd'hui cette histoire, ce court mais important moment de ma vie, me rappelle à quel point les gens jouent un rôle non négligeable dans notre existence.
Je vous remercie d'être de ceux-ci.
Je voyageais tous les jours de semaine, en autobus assurément, entre Brossard et Montréal pour suivre mes cours en ébénisterie (je n'ai toujours pas de voiture soit dit en passant, il y a un commanditaire intéressé?!).
Un jour d'avril, exeptionnellement chaud comme en juillet, je me retrouvai donc tout à fait par hasard assise en face de Maria.
Je la nommai ainsi parce qu'il aurait été odieux de parler d'elle comme étant '' la fille'' dans l'autobus (c'est d'ailleurs, en quelque sorte, en nommant les choses qu'on leur donne vie...).
Elle était sublime.
Ce n'était pas une beauté ordinaire ni timide, elle était empiriquement belle.
Son visage si doux aveuglait de bonté.
Ses cheveux noirs luisants tombaient avec précision sur ses épaules frêles mais fortes à la fois, pouvant supporter toute la souffrance du monde avec une aisance unique.
Ses yeux, noirs aussi,nous transperçaient tous sans exeption, lisant à travers chaque passager que nous étions.
Seuls les plus assumés pouvaient soutenir son regard et sourire...
Et sourire, j'en fus capable.
Je me surpris moi-même à ne pouvoir lever les yeux d'elle. Non pas par désir ou jalousie, mais par un étrange et soudain envoûtement.
Je pris mon carnet et tentai de la dessiner.
Difficile tâche de reproduire la perfection...
Il me fallait toutefois tenter le coup.
Il y a de ces choses dans la vie que l'on ne peut s'empêcher de faire, telle une force insoutenable qui se doit d'être...
Je remerciai la vie de m'avoir donné ce don de contemplation. De pouvoir ainsi vivre et sentir la beauté, j'étais privilégiée.
Être le véhicule d'une telle émotion ne peut qu'apporter plénitude et satisfaction.
Raconter aujourd'hui cette histoire, ce court mais important moment de ma vie, me rappelle à quel point les gens jouent un rôle non négligeable dans notre existence.
Je vous remercie d'être de ceux-ci.
23 avr. 2008

AIT: je suis une pute!
J'ai mis mes convictions de côté pour faire de la pub à mon blogue.
Je suis maintenant détentrice d'un espace sur Facebook, ou encore Face-boost, Face-plotte, Face-moche, Face-crapt, Face-eurk...
En ayant ainsi ma face sur un site remplis d' faces qui sont sans doute,
assurément-quelle question-c'est certain-elles sont toutes des faces of My friends;
et bien, j'aurai, peut-être, qui sait, plus de lecteurs!
Plus j'ai de lecteurs,
plus je suis lue!
Plus je suis lue,
mieux on me cerne!
Mieux on me cerne, plus je déborde!
Il y a un sens à tout ça? Tellement pas!!!
Zé veu jiiiste kon méééme pôôôr cé ké jé sôuiiiii!!!!!
C'est donc ça.
Voilà.
Pour me démoulée,
j'embarque dans le moule!
Gâteau vanille ou pacanes?!
Venez goûter, vous verrez bien!!! ;-)
21 avr. 2008
19 avr. 2008
Ohhhh yeahhhhh!
Je me suis fait avoir.
Oui, encore une fois.
Je me suis laissée emporter par la magie du hockey.
Les Bruins méritent grandement une septième game.
Désolée Habs, il vous en manque un peu ;-) !!!
Tentons de dormir maintenant, moi et mon adrénaline d'après match...
À très bientôt en enfer guys!
Oui, encore une fois.
Je me suis laissée emporter par la magie du hockey.
Les Bruins méritent grandement une septième game.
Désolée Habs, il vous en manque un peu ;-) !!!
Tentons de dormir maintenant, moi et mon adrénaline d'après match...
À très bientôt en enfer guys!
17 avr. 2008
Un hier particulier parmi d'autres...
Avec ma musique plein la tête,
mon cerveau endormi riait à belles dents
avec, par contre, la gorge serrée,
de voir Miss Pétasse se vomir les tripes...
J'ai eu larme à l'oeil en t'écoutant toi,
coeur flottant de mon ami,
noyant son foie
avec du rince-bouche alcoolisé plein l'estomac.
Incertitude au ventre
et front froncé,
j'aurais bien tordu un doigt de la douce main
qui lui avait envoyé LE message texte qui lui tua,
un peu...
l'euphorie d'y croire...
13 avr. 2008
11 avr. 2008
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